Affichage des articles dont le libellé est Movie. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Movie. Afficher tous les articles

vendredi 2 janvier 2015

[Movie/Musical] Billy Elliot

Pour bien commencer l'année, j'ai envie de vous proposer un article sur mon film favori, le 1er du Top Ten, celui qui bat tout le monde haut la main, celui que j'emporterais sur une île déserte, celui qui me fait frissonner tout partout, l'inclassable, le mythique... Billy Elliot. 

Today, let's talk about my favourite movie, the one I would take on a desert island, the one that gives me too much feelings, the wonderful, the incredible, the fantastic BILLY ELLIOT ! (applause)




We love to boogie 

Pour ceux qui ne l'auraient pas vu (SHAME.ON.YOU) et/ou qui vivraient dans une grotte (ce qui expliquerait pas mal de chose), je vous fais un résumé : 

Billy Elliot est un petit gars de 11 ans qui vit dans une ville minière du nord de l'Angleterre des années 80. Sa maman étant décédée, il vit avec sa grand-mère, son grand frère Tony et son père, tous deux mineurs... en grève. C'est l'ère Thatcher et la Dame de Fer a décidé de fermer de nombreuses mines, se heurtant aux mineurs en colère. La famille a peu de moyen mais le père trouve toujours un peu d'argent pour que Billy prenne des cours de boxe. Ce que le jeune garçon déteste. Un jour, il tombe sur un cours de danse classique et, poussé par la professeur, il s'entraîne clandestinement et découvre sa vocation : il sera danseur étoile. Mais dans un contexte aussi dur, il ne pouvait que se heurter à l'incompréhension et à la fureur des hommes de la famille...

For those who haven't seen it yet (shame on you, cavemen), here's a quick summary.

Billy Elliot is an 11-year old boy living in an English mining town in the 80s. His mum dead, he lives with his granny, his dad and his older brother, both miners on strike. Thatcher is reigning on the UK and has decided to close lots of mines condemning workers to poverty. The family is poor but the father always finds some money for Billy to take boxing lessons. But Billy hates it and instead choses to learn classic dance secretly. Something that the men of the family are not ready to accept...


Premiers émois avec les Clash

J'ai vu ce film à sa sortie, quand j'avais 12 ans, avec ma classe d'anglais du collège. Alors que tout le monde rigolait et ne s'en souciait pas vraiment, moi, il m'est resté gravé dans la mémoire et dans le cœur.

Déjà, le contexte historique me file la chair de poule. Les gens qui en chient pour garder leur travail, qui luttent, qui sont en colère, ça me prend aux tripes. Ensuite, Billy est un exemple de courage et de persévérance. Ce n'est pas son père, son frère et les gens bien pensant qui vont l'empêcher d'atteindre son rêve. Puis il y a le moment où Tony se fait poursuivre par la police, et quand il se recueille sur la tombe de sa mère, et quand son père le regarde partir en bus... Et puis il y a la bande-son. 

Si je devais résumer ce film en un mot, je dirais juste ÉMOTION.

I first saw that movie at its release when I was 12 and with my English class. When everybody was laughing and not caring it just stayed in my mind and heart. The hstoric context is giving me goosebumps, all those fights, that misery, the political power... Then Billy is an example of bravey. He just doesn't care about what other think of him. And then the big brother being chased by the police, and Billy on his mum's grave, and the dad looking at him on the bus... And the music. Too much feelings.
À 12 ans, j'étais aussi tombée amoureuse de Jamie Bell. J'avais tout compris. / At 12, I fell in love with Jamie Bell.

Étant à Londres, je ne pouvais pas ne pas aller voir la comédie musicale. J'avais peur, je l'avoue, d'une pâle copie. Mais non. L'acteur jouant Billy est parfait, les danses sont merveilleuses, les musiques prenantes (c'est du Elton John !), l'émotion est là. Si vous êtes de passage, Billy Elliot est un arrêt obligatoire.

Living in London, I obviously went to see the musical. I wasn't disappointed at all. It's not exactly the same but everything is there. A must watch.


No you won't fool the Children of the Revolution, no no no

dimanche 17 août 2014

[Movie] About Time

Je fais partie de ces filles dont un des petits plaisirs coupables est de regarder des films à l'eau de rose en soupirant à la fin. Bien sûr que non, c'est pas ça la vie. Personne ne va te courir après dans un aéroport pour t'empêcher de partir (payer un billet qui ne va pas servir, passer la sécurité, trouver la porte d'embarquement... #LOL) ni venir chanter son amour sous tes fenêtres ni te prendre dans ses bras en te faisant tourner sous la pluie et en riant aux éclats (sauf un psychopathe) et puis de toute façon, comme le disait les Rita Mitsouko, "les histoires d'amour finissent mal" (en général)...

Non, ce n'est pas la vraie vie. Mais les films catastrophe, de zombies, de science-fiction et de vampires ne le sont pas non plus. Alors maintenant laissez-moi regarder "Bridget Jones" tranquille (pour la 50ème fois) !


"Je t'aime" - "Moi non plus"

En l’occurrence, je ne vais pas vous parler de Bridget aujourd'hui (même si c'est un de mes personnages préférés). Aujourd'hui, c'est séance "About Time". 

Je me souviens avoir vu la publicité partout dans le métro londonien et, allez savoir pourquoi, je ne suis pas allée le voir au cinéma. Shame on me. Mais en un sens, c'est pas plus mal parce que bon... Ouais, j'ai pleuré à la fin.

"About Time" parle de Tim qui, à 21 ans, apprend par son père qu'il a (tout comme les autres hommes de la famille) la capacité de voyager dans le passé. Mais il ne peut pas changer le cours de l'Histoire ("tuer Hitler ou baiser Hélène de Troie, ce n'est malheureusement pas possible") juste changer la sienne. Il va donc se servir de ce don pour trouver une copine. De la maison familiale des Cornouailles, il part s'installer à Londres pour son travail dans le droit. Il va y rencontrer Marie et là, COUP DE FOUDRE ! Seul problème, après un énième voyage temporel, il la recroise mais leur 1ère rencontre n'a jamais eu lieu et il doit tout recommencer pour la séduire. Même sans spoiler, je vous le dis, ils vont sortir ensemble, s'aimer vraiment et même se marier et faire des enfants. Mais ça a beau être une comédie romantique, ce serait trop simple si ça se terminait comme ça. Tim va apprendre que, malgré tous ses voyages pour aider famille et amis, il y a des choses qui ne peuvent changer et qu'il doit, comme le plus simple des mortels, passer par des moments difficiles et des chagrins.


C'est normal que j'ai les larmes aux yeux en regardant le trailer ?

C'est cette partie que j'ai aimé dans le film. Oui, c'est beau et romantique, c'est rigolo et c'est original avec les voyages dans le temps mais le plus important (pour moi), c'est ce petit rappel que c'est ça, la vraie vie. De l'amour, de la joie, des peines, des souffrances, des déceptions... Mais surtout qu'il faut apprécier chaque petit moment de la vie, chose que beaucoup oublie au passage. 

"About Time" vient de rentrer dans mon Top 10-des-films-que-je-regarde-au-moins-une-fois-par-an-parce-que-trop-bien.

Je vous le conseille ! Mais faîtes un investissement chez Kleenex avant, hein.


Un petit bonheur simple de l'existence

mercredi 6 août 2014

[Serie/Movie] The Imbetweeners

Je ris d'un rien. Une chute, un bon mot et me voilà partie dans des éclats de rire qui vont durer une bonne partie de la journée (oui parce que même quand le fou rire se calme, je retrouve toujours le moyen d'y penser et de rire de plus belle). 

Quand j'étais une petite ado rebelle, ce qui me faisait rire, c'était "Jackass", "Viva la Bam", les pitreries des Blink-182 et toute autre joyeuseté américaine. Mais au fond, je n'ai pas changé *insert Julio Iglesias' voice here*. Enfin, pas trop... 

L'été dernier, je suis tombé sur la série "The Imbetweeners". J'ai ri pendant 18 épisodes.


Résumé en une image

"The Imbetweeners" ("Les Boloss" en français, quel joli mot), c'est l'histoire d'un jeune de 17 ans, Will, transféré dans un nouveau lycée après le divorce de ses parents. Will est intelligent, plein de sarcasme et plutôt drôle mais Will n'est définitivement pas cool. Et dans un lycée, quand t'es pas cool, tu deviens la tête de turc. Heureusement pour lui, il n'est pas le seul dans ce cas. Jay, Simon et Neil vont devenir ses amis et ils vivront ensemble les aventures ordinaires d'une bande de jeunes : saouleries, mensonges en cascade, chasse aux filles et gros râteaux... 

Ce qui m'a plus là-dedans, c'est cet humour tellement sarcastique et bien anglais. Et surtout voir ces personnages galérer et se dire que pour rien au monde on ne recommencerait le lycée (c'est tellement cool de vieillir).


Cet humour très fin des ados <3

J'ai ensuite vu le film de 2011. Comme prévu, les films tirés de série ne sont généralement pas à la hauteur de ces dernières. Will et sa bande de potes partent en voyage en Crète et, bien sûr, ce qu'ils attendent le plus (filles, grosses fiestas...), ne sera pas au rendez-vous. Néanmoins, quelques passages très drôles et puis ça fait toujours plaisir de voir mes losers favoris.



Parler aux filles s'avère plus compliqué que prévu...

Un deuxième film vient de sortir aujourd'hui. La bande part faire un tour en Australie ! J'vous laisse, j'ai une séance qui m'attend...